'Là, où les rêves deviennent réalité'..


Conclusion..

On suit de près les événements du monde, surtout ceux du Proche-Orient, puis un jour, on part au Pays des Merveilles, 'là, où les rêves deviennent réalité'..

Pour une toute petite période de temps néanmoins infinie, on redevient enfant et là, comme un enfant, on voit tout.
Le meilleur du monde entier est mis en valeur. C'est le monde où l'amour vainc toujours la haine, où il y a toujours 'happy endings' et tout est donc possible. C'est le monde où, non seulement on a bien quelque chose de beau, de créatif et de vrai à raconter, mais où l'on trouve- comme par magie- la meilleure manière de l'exprimer, surtout avec amour, et sans trop se soucier non plus de moyens et de limites. Telle est cette volonté de transmettre aussi bien que possible ce beau message, de réaliser ces rêves fabuleux.

Mais lorsqu'on revient sur terre, aux autres réalités plus ternes, quotidiennes, là on se rend compte d'autant plus du triste ampleur des sentiments négatifs qui s'y trouvent. La mauvaise volonté, la haine, l'esprit quasi vide de tout ce qui est beau, profond et positif. Le contraste en est si frappant que l'on se demande plus que jamais, comment peut-on être aussi médiocre? Comment peut-on vivre et être à ce point aussi vide d'amour, d'imagination, de tout ce qui contribue à rendre le monde meilleur?

Les pays arabes ont le droit d'être fiers du fait qu'une fois dans leur histoire ils rayonnaient d'une culture des connaissances la plus dynamique du monde. Mais peut-être ces pays ont bien moins le droit d'être fiers de ne plus la représenter aujourd'hui.
Depuis cette époque rayonnante du moyen âge, les exigences rigides de l'Islam semble avoir coupé les ailes de ce peuple davantage. Au lieu de regarder les étoiles comme l'avaient fait certains de leurs grands ancêtres astrologues, ils ne semblent que regarder par terre, comme s'ils n'ont plus le droit de lever la tête, d'être inspirés, ou d'avoir de telles aspirations personnelles.

Si une religion n'évolue pas avec la civilisation, éventuellement il y aura une crise, un choc culturel. Les exigences rigides et dépassées freinent un peuple à évoluer et peuvent aussi le contraindre à se diviser. Elles peuvent également l'inciter à créer des monstres programmés à utiliser la force pour essayer de satisfaire des anciennes revendications.
Pendant que telles revendications pour certains pays puissent devenir relativement moins importantes, les monstres par contre, risquent de devenir quasi incontrôlables. C'est alors le moment de la vérité, où l'hypocrisie se révèle, et peut-être un jour ces monstres seront capables de se retourner contre leurs propres créateurs, justement comme dans les contes de fées.

Même si on trouve de tels monstres un peu partout, en règle générale ils sont plutôt l'exception. Nous pouvons par contre affirmer qu'en règle générale certains peuples sont plus créatifs, entreprenants et positifs que d'autres. Naturellement ces peuples contribuent davantage au bien du monde.

L'ironie c'est qu'un tel peuple créatif et entreprenant vit dans un pays très petit par rapport à ses voisins. Mais malgré cette différence, y compris le manque de ressources naturelles, jamais ce peuple troquerait son pays avec l'un de ses grands voisins, malgré tous les avantages qu'un tel échange lui apporterait. Et jamais un de ses grands voisins abandonneraient les richesses naturelles qui vont de pair avec son grand pays, en échange pour ce petit pays, malgré tout ce qu'il représente d'autre.

Dans telles circonstances, ne serait-il pas mieux de laisser ce peuple continuer à y vivre en paix? Car c'est justement ce peuple là qui est capable de contribuer à rendre le monde meilleur. Et parmi ce peuple il y en a certains capables de nous faire rêver, capables même de transformer les rêves en réalité.
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Text and Image © Mirino (PW) January, 2009

Consequences (suite)

 
The Palestinian Plight
And 'Palestine' ?
Apart from several other names given to this area (including Canaan, Israel, the Holy land, Kingdom of Jerusalem etc.) 'Palaestina' was the Latin name that the Roman emperor Hadrian gave to the region after the
Bar Kokhba revolt was crushed (132-135). It was assumed that this would also help quash the national sentiments of the expelled Jews. The name derives from 'Philistine'.
At the latter part of the Bronze Age, 'Philistia' was believe to be where the present Gaza strip is situated. Philistia consisted of five states each with it's own central city: coastal Gaza, Ashdod and Ashkelon and inland Ekron and Gath.

Certain scholars maintain that the ethnic origin of the Philistines have links with Southern Greece from the Mycenaean civilisation but this has not been clearly established.

The name 'Palestine' remained, as did many of Roman Empire origin, and as did the countless generations of people known as the Palestinians.
Yet whether a people aspire to build fabulous cities for posterity, or is content to continue to nurse old olive groves and orange orchards, they are still in their own home-land as were their ancestors and as are their children. No one can assume the right, even divine, to deny a people such a fundamental easement, and this, whatever history, including what might be considered the most sacred, might otherwise decree.

But history can never essentially be 'individual', although even today each nation's version of history, depending also on the historian, would never entirely correspond with that of their neighbour nation. Often this difference increases and is embellished through time, space, culture and religion. Yet the essential ancestral birth right, whatever one's religious convictions, is undeniably sacred.

By defending this, by extension, one cannot deny the ancestral birth right of one's neighbours. One cannot deny or disprove the facts of history in this regard, or deform them to suit one's purpose or cause.

What applies to Jerusalem must apply to the 'Holy Land'. The 'Children of Abraham' represent the three monotheist religions, Muslim, Hebrew and Christian. Thus no single child should inherit everything that would create an interminable family conflict.

'The Children of Abraham', and of Israel should again be able to live together in peace as they once did for thousands of years. Why do the futile claims caused by war and religion, especially religion, make this so difficult? If in the final analysis of historical fact, it is unanimously agreed that no single, Abrahamic religion can claim the 'monopoly' of the 'Holy Land', why continue such a useless dispute?

The flames of this furnace are not rekindled and continually fed by moderate Palestinians and Israelis. They have been fanned by neighbouring States and nations for at least a generation, without considering more ancient history. These States have contributed to foster conditioned movements capable of indoctrinating their own children with racist hate. They seem inclined to maintain intolerable conditions in order to
perpetuate the idea of representing a people who are constantly oppressed by their 'tyrannical' neighbours.

But surely the majority of Palestinians and Israelis wish to live together in peace.
Would not those states and nations who use the Palestinians to defend an unjustified cause do better by first improving their own standards and sweeping clean their own front doors?

The choice the Palestinians opted for in Gaza will never lead them to Paradise, and it is another, terrible, modern day tragedy that they seem to have to find this out in the worst possible way in order to perhaps understand.

There is no hope for those who are obsessed with hate. Nothing positive has ever been its effect. Hate is a living death.

The Palestinians deserve their State. It is essential that they have the peace and freedom to be able to properly negotiate and agree to acceptable bilaterally terms covering all concerns.

Ironically, but also understandably, Israel was more intent on their obtaining such conditions to finally permit them to establish their State, than perhaps any other country or international institution in the world.


Sometimes, it only takes the right amount of good will to realise dreams.
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Satellite image of Israel, by kind courtesy of Nasa.
Text © Mirino (PW) January, 2009